Celle-ci est préservée durant la Seconde Guerre mondiale,
cachée dans une grange de
l’Isère, sur la
commune de Beaurepaire. En
1942, il entre dans la résistance, où il effectue des transports d’armes et d’imprimés jusqu’en 1944, époque
où il est arrêté, torturé et déporté.
Son activité de démolition reprenant après
la Libération de la France,
sa collection augmente. Pour la première fois, en 1956, elle est exposée avenue Berthelot, dans
les locaux de l'entreprise.
Face au succès et à l'engouement engendrés
par les voitures anciennes, naît le projet de créer
un musée. Il l’ouvre en 1960 dans l’enceinte du château de Rochetaillée-sur-Saône, avec le
soutien de Louis Pradel,
maire de Lyon.
Henri Malartre meurt le 13 novembre 2005 à Lyon et repose au cimetière de la Guillotière, même ville.
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