Une bonne respiration et nous nous engouffrons dans le ventre du S-645, autrement dit La Flore. À peine le temps de reconnaître l’odeur de graisse, que le compartiment des torpilles nous rappelle que le submersible était avant tout une arme redoutable. L’encombrement et l’exiguïté des lieux sont fascinants. Un pas après l’autre, en file indienne, chaque visiteur se demande comment plusieurs dizaines de marins ont pu vivre ensemble à bord de cette « boîte de sardines ». Maintenant revenus à la surface, ils appréhendent un peu mieux ce qu’ont pu ressentir lors de leur première plongée les « oreilles d’or », les « bouchons gras » ou le malheureux qui devait dormir dans « la bannette de l’unijambiste »…
Triste de voir qu'il manque un p'tit coup de peinture noire sur la coque....
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