Une nuit pluvieuse, en 1977, Mark Knopfler entre dans un pub vide du sud de Londres.
Sur scène, un petit groupe de jazz joue faux devant cinq personnes.
« Bonne nuit et merci. Nous sommes les Sultans of Swing ! »
Knopfler sourit. Ce qu’il vient de voir, c’est la beauté de la sincérité : des musiciens qui jouent mal, mais jouent avec le cœur. Pas de gloire, pas de public, juste la passion.
En rentrant chez lui, il écrit une chanson, non pas pour se moquer, mais pour rendre hommage à cette authenticité.
Quelques accords, une guitare claire, et naît Sultans of Swing, un morceau sur la dignité des artistes anonymes.

Bravo !... Respect ... JJH71
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